Maude-Aimée LeBlanc, notre étoile de la première moitié de saison en direction de la LPGA…rien de moins.
Comment va votre golf jusqu’ici? À la mi-saison de la série américaine Symetra, l’antichambre de la LPGA, celle de Maude-Aimée LeBlanc va très bien, merci.
De fait, ses résultats vont mieux que jamais.
Grâce notamment à deux birdies en fin de partie dimanche pour 70 après 69 et 71 les deux jours précédents pour un cumulatif de six sous la normale, la joueuse ayant appris son golf au club Royal Estrie (ex-Asbestos) sous la tutelle de Pierre Lallier comme enseignant, a pris la 4e place du tournoi Prasco Charity de Cincinnati, en Ohio doté de 200 000 $.
Elle a terminé à trois coups de la gagnante écossaise Meghan MacLaren.
En ajoutant ses trois 2e rangs, il s’agissait du quatrième top quatre en neuf sorties de l’Estrienne âgée de 32 ans.
C’est une somme de 6 366 $ que Maude-Aimée a empochée.
Elle se retrouve 3e dans les gains jusqu’ici totalisant 63 078 $.
Voilà la meilleure nouvelle: les dix premières à la fin du calendrier accéderont directement à la LPGA en 2022 et pour le moment, Maude-Aimée possède un coussin de 21 695 $.
Go Maude-Aimée!
Birdie de la semaine!
Le prix va à Maude-Aimée.
En beau fusil
Il s’agit des joueurs ayant appris les restrictions sanitaires à l’Omnium britannique en juillet.
C’est sévère versus les USA. Les restos sont interdits. Les bars aussi.
Première
En enlevant les Internationaux BMW en Allemagne, Victor Hovland, 23 ans, est devenu dimanche le premier Norvégien à l’emporter au circuit d’Europe.
Quel coup!
Bubba Watson a réussi un bridie au Championnat Travelers d’Hartford même si la tête de son «driver» rose s’est détachée de la tige après l’impact avec la balle.
Un peu de Montréal…
Gagnante du Championnat de la PGA féminine, aussi dimanche à Atlanta, Nelly Korda est la fille de Peter, ex-finaliste au tennis au stade Jarry.
On veut Adrien
C’est le sprint final des mises en candidature au Panthéon de la PGA du Canada.
Ensemble on vote Adrien Bigras qui devrait être intronisé depuis longtemps, ma foi.
Source: Mario Brisebois – Au 19e.ca