Annika Sorenstam montre qu’elle a encore du jeu malgré le retour “ provisoire ” de la LPGA au lac Nona…

Annika Sorenstam s’est dirigée vers la corde par le 15 ^e trou pour un rapide câlin de groupe avec ses enfants. Ava, 11 ans, a parlé à maman d’un test d’anglais qui ne s’est pas bien passé. Cela a motivé Sorenstam jusqu’à ce qu’Ava explique qu’elle était autorisée à passer un mulligan à l’examen.

Ava, l’entrepreneur créatif, a réalisé 15 Go Annika pailletés ! chemises pour amis et famille cette semaine. Elle était certes plus dans les vêtements que le golf. Will, neuf ans, avait hâte de sortir de l’école, dévalant les rudes pour regarder sa mère légendaire.

Alors que Sorenstam, 50 ans, a déménagé au 16 ^e tee, qui se trouve à côté de la maison familiale, son cadet de longue date Terry McNamara est sorti pour assister à l’action. McNamara, qui travaille maintenant pour l’Espagnol Carlota Ciganda, était en charge du dîner jeudi soir.

«Je crois en fait, aussi bon que soit son élan», a déclaré McNamara, «que si elle avait juste un peu de temps, et je doute qu’elle y remettra un jour, je pense qu’elle pourrait encore être compétitive. Je veux dire mentalement, il n’y a probablement jamais eu de joueur aussi fort mentalement, et il n’y a probablement pas eu de joueur dont le jeu de coin était aussi bon que le sien.

Sorenstam a médité jeudi matin pour essayer de trouver un peu de force intérieure et de paix. Elle était nerveuse à propos de ce tour depuis des jours maintenant, et cela ne faisait que s’intensifier alors qu’elle marchait vers le premier tee et repéra tant d’amis et de membres de la famille. Environ 150 personnes étaient présentes pour regarder Sorenstam jouer sur la LPGA pour la première fois en 4 479 jours.

L’objectif de Sorenstam dans la semaine était de tirer à égalité ou à 1 sous. Elle aura du travail à faire vendredi pour faire la coupe (70 et égalités) après avoir cardé un 3 sur 75 qui se résumait vraiment à un surprenant triple-bogey sept sur la normale 4 cinquième.

Le coup de départ de Sorenstam s’est immobilisé sous la porte d’une clôture entourant l’arrière-cour d’une maison sur le côté gauche du n ° 5. Le responsable des règles sur la scène, Dan Maselli, a déclaré que sa balle restait dans les limites «par une fossette». Quand elle a pris un injouable, Maselli lui a rappelé que les gouttes sont maintenant prises du bas autour du genou.

«Merci de me l’avoir rappelé», a déclaré Sorenstam.

Elle n’a échappé aux ennuis qu’à trois putts, disant qu’elle ne se souvient pas de la dernière fois qu’elle a cardé un triple.

«Beaucoup de tirs provisoires là-bas», a déclaré Sorenstam. «Je ne sais pas vraiment de quoi j’ai peur, mais je pense simplement aller là-bas et parfois le protéger, ce que je n’ai pas vraiment l’habitude de faire. Mais là encore, je n’ai rien à protéger.

«C’est amusant comment l’esprit fonctionne.»

Birdie seul Sorenstam de la journée est venu le 14 ^e quand elle a frappé un coin de 95 verges pour exploiter en gamme. Un ami de la famille a éclaté dans un air «Annika est de retour» qu’il avait pratiqué chez eux lors d’un dîner récent. Sorenstam s’est excusé d’avoir mis si longtemps à lui donner quelque chose à chanter.

Les plans sont plus courts et moins cohérents de nos jours. C’est un genre de golf stressant, mais Sorenstam, qui prévoit de faire ses débuts à l’US Senior Women’s Open cet été, s’est toujours amusée avec son mari sur le sac et tellement de son entourage en dehors des cordes.

Les parents de Sorenstam, Tom et Gunilla, vivent également dans le lac Nona. En fait, Annika n’est pas la seule Sorenstam avec son nom sur des plaques à l’intérieur du club-house. Gunilla est une ancienne championne du club féminin qui joue toujours neuf trous de temps en temps lorsque son dos le permet.

Sorenstam part à 8 h HE vendredi aux côtés de ses compatriotes suédoises Anna Nordqvist et Madelene Sagstrom, qui se sont assurées de demander une photo après la ronde de jeudi.

“Son jeu de coin est encore si stupidement bon”, a déclaré Sagstrom.

Sorenstam sait qu’elle devra être plus agressive au deuxième tour pour avoir une chance de jouer ce week-end. Elle est actuellement à un coup de la ligne de coupe. Le jeu lent n’aide pas non plus. Elle a dit à son groupe au neuvième trou que le plus dur pour vieillir est de ressentir le besoin de frapper des balles en attendant que le corps ne se resserre pas.

«Avant, j’avais l’impression d’avoir toujours eu un autre équipement», a déclaré Sorenstam. «J’ai toujours eu un autre équipement. Je ne sais même pas si j’ai un seul équipement maintenant. Alors tu fais juste ce que tu fais.

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Source: News Week – USA Today