Plus de 250 bénévoles dans les 8 associations régioanles de Golf Québec en 2020…
Le succès des organisations sportives repose généralement sur l’engagement et le dévouement de bénévoles et le golf ne fait pas exception avec l’apport de plus de 250 bénévoles répartis dans les huit associations régionales couvrant l’ensemble du Québec et une partie de l’est de l’Ontario dans la région de l’Outaouais. Super Trio de bénévoles de l’ARGCE…Richard Poirier…Nicole Lévesque et Serge Boisvert. Au niveau de la présidence des associations provinciales au cours des ans depuis 1920, les mandats ont généralement été annuels, mais soulignons les prestations de trois ans ou plus par Madame J. H. Wilson (1963-65), Monique Sofia (Beloeil, 1993-95), Jean Trudeau (Fédération, 1999-2001), Suzanne Beauregard (Fédération, 2001-06), Charlie Beaulieu (Le Mirage, 2007-11), Marc Tremblay (Beaconsfield, 2011-13) et Marcel Paul Raymond (Le Blainvillier, 2014-16). Suzanne Beauregard |
Avec le temps, afin d’honorer l’apport des indispensables bénévoles, autant Golf Québec que Golf Canada ont instauré le prix de bénévole de l’année. Au niveau canadien, parmi les récipiendaires des dernières années, notons la présence québécoise de Sylvain Tremblay (Saguenay/Lac St-Jean/Chibougamau/Côte-Nord, 2010), Diane Barabé (Cantons de l’Est, 2014) et Raymonde Michaud (Est-du-Québec, 2018). (Photo de Golf Canada : Raymonde Michaud, la bénévole de l’année au Canada en 2018. Ici avec Jack Nicklaus en 1985.) |
La cuvée du centenaire Sous la présidence de monsieur Marc Tremblay, le comité du Temple de la renommée du golf du Québec a annoncé l’intronisation de deux bâtisseurs et d’un professionnel pour l’année 2020. En cette année de centenaire, il était tout à fait approprié d’honorer celui qui a littéralement présidé aux premières destinées du golf au Canada, soit l’écossais Alexander Dennistoun (1821–1895) qui a été à l’origine de la fondation du premier club en Amérique du Nord, le Montreal Golf Club en 1873. |
Du côté féminin, en plus de connaître une prolifique carrière en compétition entre 1978 et 2002, c’est dans la catégorie des bâtisseurs que Mary-Lee Cobick (1970 – ) entrera au panthéon. Elle a eu une influence remarquable en tant qu’enseignante, gestionnaire propriétaire et cheffe de file à la fondation de golf junior tant au Club de golf l’Oiselet d’Amos qu’en Floride. En 2018, elle a été reconnue comme Professionnelle nationale de l’année de la LPGA et a reçu le prix « Top 50 Teacher » de la LPGA. Du côté des professionnels, le comité a retenu la candidature de Doran « Duke » Doucet (1947 – ). Originaire de Windsor, au Québec, celui qu’on appelle affectueusement Duke est une figure marquante de l’histoire du golf québécois depuis plus de 50 ans avec à sa fiche la victoire dans plus de 35 tournois professionnels incluant l’Omnium du Québec et trois Omniums printaniers. Il a aussi connu une longue carrière comme professionnel au Club de golf Summerlea, de 1976 à 2011. |
Remerciements de Marcel Paul Raymond… En terminant cette série de 10 chroniques sur l’histoire de Golf Québec, je m’en voudrais de ne pas souligner l’apport de ceux qui m’ont rendu la tâche des plus agréables. D’abord, deux férus de l’histoire du golf ont collaboré à certaines des chroniques, soit Joe McLean, journaliste de la revue Flagstick et historien de l’Association régionale d’Ottawa (OVGA), et Alain Chaput, un amateur de golf à qui je souhaite de publier un jour son propre ouvrage sur l’histoire du golf au Québec. Alain Chaput Je les remercie d’avoir partagé avec nous une partie de leur savoir. Ces chroniques n’auraient pu être possibles sans la coordination et la patience de mon éditrice et traductrice : la gestionnaire des communications Guylaine Sirois qui est également la doyenne de Golf Québec, en poste depuis 1998. Guylaine Sirois Merci aussi à Meggan Gardner, la directrice des services du patrimoine à Golf Canada qui a ajouté son grain de sel pour valider certains des faits que nous avons relatés. Si jamais vous passez dans la région de Toronto, n’hésitez pas à faire un tour au Musée et Temple de la renommée du golf canadien à Oakville sur le bord des allées du club de golf Glen Abbey; ça vaut vraiment le déplacement. Je suis très reconnaissant au comité du centenaire de Golf Québec qui m’a confié ce mandat m’ayant permis de découvrir une nouvelle passion pour l’histoire en cette année pandémique : Sonia Houde, Martin Ducharme, Denis Loiselle et Jean-Pierre Beaulieu. Jean Pierre Beaulieu Merci à tous les fidèles lecteurs qui m’ont exprimé leurs commentaires sur les parcours l’été dernier et toutes mes excuses si des erreurs se sont infiltrées dans les textes, j’en prends l’entière responsabilité. Source : Marcel Paul Raymond pour Golf Québec |