Brett Coletta et Vince India jouent chacun 66 au Korn Ferry Tour…

ST. AUGUSTINE, Floride – Le record du parcours a été égalisé à nouveau – deux fois – et le rouge a continué d’être la couleur principale du King & Bear Classic du Korn Ferry Tour lors du deuxième tour de jeudi.

Avec des prévisions météorologiques plus clémentes pour les deux derniers jours, rien ne semble empêcher le terrain de poursuivre son assaut sur le parcours qui a été conçu par Arnold Palmer et Jack Nicklaus, mais prend le dessus sur les deux membres fondateurs du monde. Golf Hall of Fame n’a probablement jamais envisagé.

Et pour tous les scores faibles et les coups sensationnels, le haut du classement est resté le même qu’à la fin du premier tour: Vince India (66), diplômé de l’Université de l’Iowa, et l’Australien Brett Coletta (66) sont à égalité à 15 de moins que la moyenne 129.

Dawson Armstrong, connu pour avoir remporté 13 prix de joueur de la semaine ASUN à l’Université de Lipscomb – un record dans cette conférence pour tous les sports – a menacé à la fois les leaders, le record du parcours et le nombre magique de 59 en jouant dans le groupe final.

Armstrong a surmonté un bogey d’ouverture avec des aigles dos à dos aux numéros 4 et 5, et avait 10 points de retard lors d’un tronçon de 10 trous pour se rapprocher d’un coup de la tête à travers 13 trous.

Il a épaté le n ° 17, puis a doublé le 18e de pair-5 pour le birdie et un 63 pour égaler l’Inde, Coletta et Wes Roach pour les records de parcours qu’ils ont établis ou à égalité jusqu’à présent cette semaine.

Armstrong s’est imposé pour une troisième place avec Mickey DeMorat (64), originaire de Melbourne, à proximité, et Justin Lower (65), qui a réussi un birdie sur trois de ses cinq derniers trous.

Armstrong a dit qu’il ne pensait pas à 59 ou à des records de parcours.

«Je pensais (faire la) coupe», a-t-il dit. “Nous n’étions pas inquiets de marquer, juste de réussir de bons coups.”

Et à quel point ces clichés étaient-ils bons?

Après un entraînement en plein essor au quatrième trou court par-4, Armstrong n’avait qu’un coin de 57 verges au vert, et il l’a frappé dans le trou.

Sur le cinquième trou par-5, il a pris une ligne non conventionnelle du tee sur le sixième vert, avec la balle courbée à gauche sur le fairway. Il avait 135 verges et coincé à moins de 12 pieds. Il a fait le putt puis a réussi un birdie six de ses huit trous suivants.

“C’était vraiment, vraiment amusant”, a-t-il déclaré à propos de son deuxième tour cette année avec des aigles consécutifs (il l’a fait au Championnat de Bogota).

L’Inde a réalisé son seul bogey du tournoi jusqu’à présent au n ° 9 – son trou d’arrivée – et a eu deux séquences de trois birdies dans les quatre trous de chaque côté. Il n’a raté que deux fairways cette semaine.

Après avoir joué les 11 premiers trous à 1 sous, Coletta a pris feu sur le neuf avec cinq oiselets parmi ses sept derniers trous, dont quatre sur des putts de huit pieds ou moins.

Les deux hommes ont partagé les scores les plus bas de 36 trous par rapport au pair sur le Korn Ferry Tour cette saison, et ont égalé les 129s (12 ans) Camilo Villegas et John VanderLaan tournés au Country Club of Bogota Championship en janvier.

Dawson Armstrong se tient au 18e lookin vert sur une tentative d’aigle. (Stan Badz / PGA Tour)

Le groupe à 13 ans était dirigé par Roach, qui a le statut conditionnel de PGA Tour et a joué cinq saisons complètes sur le Korn Ferry Tour. Il a réussi un birdie aux numéros 17 et 18 pour un 63 et sa part du record du parcours.

Également à 13 ans, le quadruple vainqueur du PGA Tour Chris Kirk (65 ans), qui fait son premier départ sur le Korn Ferry Tour depuis 2010 lorsqu’il a gagné deux fois et terminé deuxième sur la liste de l’argent; Will Zalatoris (66), leader de 54 trous la semaine dernière au Korn Ferry Challenge au TPC Sawgrass; et Callum Tarren (65 ans), originaire d’Angleterre, qui a atterri à l’Université Radford de Virginie.

Davis Riley (66), deuxième sur la liste d’argent de Korn Ferry 2020, mène cinq joueurs à 12 sous.

Le peloton a cassé 70 pour la deuxième journée consécutive avec une moyenne de 69,222. Le 6. sous-coupe était le plus bas de la saison sur le Korn Ferry Tour et était la 16e fois en 26 ans que la coupe était de 6 ou 7 sous.

Les larges fairways et les grands greens étaient des cibles sans stress.

“C’était amusant de nouveau là-bas aujourd’hui”, a déclaré l’Inde, qui a terminé 10e à égalité la semaine dernière au Korn Ferry Challenge au TPC Sawgrass et a tiré 70 points ou a abaissé ses sept derniers tours. «Cela se résumera probablement à un concours de putting le week-end. Les verts roulent très bien et ils sont assez faciles à lire. Vous aurez beaucoup d’opportunités avec la largeur des fairways et le nombre de fers courts que vous aurez. Ce sera donc une fusillade. »

L’Inde a réussi à ignorer son bogey de fermeture, un trois coups roulés de 40 pieds.

“Il est toujours très difficile de suivre un bon tour avec un autre”, a-t-il déclaré.

“Je pense que c’était juste un peu d’impatience qui nous gênait”, a déclaré Coletta à propos d’un démarrage lent qui incluait son seul bogey du tournoi jusqu’à présent, après être entré dans un divot au n ° 8. “Je n’étais pas fou de les neuf premiers du tout. Il faisait définitivement un peu plus de vent et il faisait vraiment chaud là-bas. »

Brett Coletta lors du King & Bear Classic, manche 2. (Will Brown, St. Augustine Record)

Roach a déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour qu’un joueur retire son pied car le score gagnant se rapproche du 23 sous Andrew Novak tourné en février au LECOM Suncoast Classic près de Sarasota qui est le score de gain le plus bas de la saison.

“Vous devez être assez agressif”, a-t-il déclaré. «Les zones d’atterrissage dans les fairways sont assez généreuses. Vous frappez votre pilote durement, le gardez en jeu et faites un tas de putts. Avec quatre par-5 accessibles et beaucoup de coins dans vos mains à quatre pattes, vous allez faire beaucoup d’oiseaux. »

DeMorat a déclaré qu’il y avait une telle chose comme étant trop risqué et que les joueurs pouvaient simplement laisser les birdies venir à eux.

“J’ai essayé de garder le ballon en jeu et j’ai beaucoup de possibilités de birdie”, a-t-il déclaré. «C’est surtout rester patient et essayer d’éliminer les erreurs plus que tout. Vous allez avoir beaucoup d’occasions d’oiseaux, mais vous pouvez être trop agressif. Je vais jouer prudemment quand j’en ai besoin et profiter des par-5. »

SOURCE : Garry Smits, Florida Times-Union