MAUDE AIMÉE LEBLANC….elle a hâte à jeudi…l’arrivée du mois de JUIN
Un nom à ajouter à la liste des gens qui ont bien hâte de voir le mois de juin arriver est celui de Maude-Aimée LeBlanc.
Mario Brisebois
(collaboration spéciale de Mon golf.ca)
Après un début de saison prometteur, la Sherbrookoise a raté par un coup sa sa qualification pour les rondes finales du Championnat Volvik de la LPGA disputé à Ann Arbor, au Michigan. Elle a donc du prendre congé pour le weekend pour un huitième tournoi consécutif.
La bonne nouvelle, cependant, c’est que Maude-Aimée joue mieux comme le démontrent ses cartes de 73 et 71 qui lui faisait égaler la normale. De plus, il faut se rappeler que, l’an passé, elle avait aussi joué son golf le plus solide à compter de juin.
Il faudra donc la surveiller lors de la classique Shoprite à compter de vendredi, le rendez-vous n’étant exceptionnellement que d’une durée de trois jours.
EN MAI….elle participait à 3 tournois et en terminait un seul au 33e rang soit celui du Ochoa Lorena Match Play et récoltait une maigre bourse de 3,375$….dans les deux autres cas elle n’atteignait pas les rondes finales du samedi et du dimanche à à Kingsmill et au LPGA Volvik…..
Un mois de mai comme le soulignait l’ami Mario Brisebois….à oublier pour Maude Aimée Leblanc de l’Estrie.
Depuis le début de l’année 2017, Maude Aimée Leblanc jouait dans 10 événements de la LPGA sur la “planète” et elle terminait seulement 3 fois pour des gains à ce jour de 44,966$.
VIVE le mois de JUIN pour cette fière athlète des Cantons de l’Est!
Qui a dit le moins de Marie était le plus beau ?
Étant donné tout le mauvais temps qu’on a eu jusqu’ici ce printemps, c’est l’industrie du golf qui, au Canada, commence l’année en net déficit.
Même si ce n’est pas partout qu’on a subi des inondations comme ce fut le cas au Château Cartier, plusieurs clubs ont dû souvent cesser d’opérer en raison des conditions trop détrempées. Le mauvais temps a fait diminuer le nombre et même annuler des tournois sociaux souvent nécessaires aux clubs pour joindre les deux bouts.
Voici un exemple du printemps de misère : l’ouverture du parcours de 9 trous de Noranda à la mi-mai a été retardée par une tempête de neige : « Oui mon ami. Entre 10 et 15 centimètres sont tombés. Et il floconnait encore une semaine et demie plus tard. En date du 20 mai, je n’ai pas eu 100 joueurs depuis le début qui ont foulé le terrain », a indiqué le professionnel local de ce club abitibien, Gerry Piette.
Il n’y a pas que l’industrie a écopé. Dans un sondage pan-canadien mené par Ian Hutchinson sur son site « Golf News Now », rien de moins que 85% des administrateurs se disaient affectés par les intempéries.
Bien sûr que la saison n’est pas entièrement gaspillée, mais un solide défi attend nos gestionnaires qui doivent déjà commencer à jouer serré avec leur budget.
L’argent perdu ne sera pas récupérable. « La récupération des montants perdus est inexistante ou, au mieux, bien mince. L’été sec et ensoleillé qu’on a eu l’an dernier nous avait donné nos meilleurs chiffres en cinq ans. Il aurait été difficile de les égaler en temps normal. Imaginez maintenant! », me disait Louis Grenier « Monsieur golf » au club de North Hatley. Ses propos faisaient l’écho de ce que l’on attend partout.
Dans un autre sondage à GNN, l’ami Hutchinson demande cette semaine dans quelle mesure voyez-vous la météo extrême affecter l’industrie du golf au cours des dix prochaines années.
Tenez-vous bien: rien de moins 60 % des répondants ont cliqué sur l’onglet « big time »!
Bref, disons au revoir le mois de mai et bienvenue à juin en se souhaitant, tiens, que ton
Source : MON GOLF.CA – Mario Brisebois collaboration spéciale – l’ARGCE